La Commission recommande : 5. Que les barèmes d’aide sociale soient fixés en fonction des besoins de base pour assurer un niveau de vie décent aux personnes ciblées, et non en fonction du type de programme mis en place. 6. Que ces barèmes ne soient pas de simples barèmes de survie mais qu’ils assurent l’exercice de l’ensemble des droits de la personne.

Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse

Mémoire sur le projet de loi no 57 (Loi sur l’aide aux personnes et aux familles), septembre 2004, p. 14

La proportion de richesse accaparée par le 1% le plus riche au Québec, qui était de 7% il y a 25 ans, représente près de 12% aujourd’hui.

Source: Alain Noël et Myriam Fahmy (dir.), Miser sur l’égalité. L’argent, le pouvoir, le bien-être et la liberté, Montréal, Institut du Nouveau Monde (INM) et Fides, 2014.