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En cette campagne électorale où la plupart des partis politiques placent l’économie et la saine gestion des finances publiques au cœur de leurs priorités, le Collectif pour un Québec sans pauvreté rappelle qu’il coûterait moins cher d’éliminer la pauvreté que de continuer à la tolérer.




Certains médias parlaient de 5000, d’autres de 12 500. Finalement, ce sont des centaines d’organisations et des dizaines de milliers de personnes — le chiffre de 100 000 a même été avancé — qui ont répondu à l’appel conjoint de la Coalition opposée à la tarification et à la privatisation des services publics et de la Coalition large de l’Association pour une solidarité syndicale étudiante (CLASSE) mercredi dernier, à Montréal.




Le Collectif pour un Québec sans pauvreté trouve incompréhensible que les enjeux relatifs à la lutte à la pauvreté aient été ignorés jusqu’ici dans la campagne électorale, alors que 750 000 QuébécoiSEs ne couvrent pas leurs besoins de base et que le taux de participation aux élections générales québécoises ne cesse de diminuer.




Le Front commun des personnes assistées sociales du Québec
(FCPASQ) et le Collectif pour un Québec sans pauvreté dénoncent vivement la campagne de propagande haineuse contre les personnes assistées sociales, lancée le 21 août dernier par le Parti conservateur du Québec (PCQ).




L’équipe du Collectif est bel et bien de retour de vacances, un retour en pleine tourmente ! Déjà, plus de deux semaines de la campagne électorale québécoise se sont écoulées. Pendant celles-ci, les enjeux entourant la pauvreté, les inégalités, les préjugés et la justice sociale ont très peu — sinon pas — défrayé les manchettes, comme d’habitude.




L’état de situation 2012 rend compte des travaux du Centre d’étude sur la pauvreté et l’exclusion (CEPE) et met à jour les principales données sur la pauvreté présentées dans l’édition précédente, parue en 2011. Il présente notamment des comparaisons interrégionales, interprovinciales et internationales des taux de faible revenu. Les comparaisons interprovinciales s’enrichissent de comparaisons entre […]




À la veille de manifestations à Québec et à Montréal, le Collectif pour un Québec sans pauvreté exprime son appui aux mobilisations étudiantes et populaires réclamant le gel des frais de scolarité, l’abandon de la logique de l’utilisateur‐payeur et l’abolition de la Loi 78.




Voici quelques réflexions sur les préjugés, dans la foulée du Carrefour de savoirs sur la lutte aux préjugés. Elles acquièrent une pertinence toute spéciale dans la conjoncture, où on peut voir mythes et préjugés se déverser sur la place publique : étudiantsEs, carrés rouges, manifestantEs, qu’est-ce qu’on n’a pas entendu à leur propos!




Le budget 2012-2013 a été présenté en pleine mobilisation étudiante contre la hausse des frais de scolarité annoncée dans le budget précédent. Comment comprendre ce budget quand on veut dire non à ce qui génère la pauvreté, les inégalités et l’exclusion, autrement dit à ce qui met les gens dans le rouge, et quand on veut dire oui à ce qui fait avancer vers une société et un monde sans pauvreté?




Le Collectif pour un Québec sans pauvreté déplore que le discours que devait livrer sa présidente, une personne vivant la pauvreté, ait été étouffé par les gaz lacrymogènes vendredi dernier devant l’hôtel où s’amorçait le Congrès général du Parti libéral du Québec.




Le carrefour de savoirs sur la lutte aux préjugés est en marche depuis le mois de janvier dernier. Les animations exploratoires que le Collectif a faites à travers le Québec l’an dernier ont nettement indiqué un intérêt pour approfondir la question des préjugés sous l’angle de la lutte.