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Le gouvernement du Québec a dévoilé aujourd’hui ses orientations en matière de solidarité sociale. Si, d’un côté, le Collectif pour un Québec sans pauvreté reconnaît que le gouvernement semble enfin vouloir combattre l’inertie qui caractérise son action de lutte à la pauvreté depuis 10 ans, de l’autre, il critique l’insuffisance de la hausse de revenu consentie aux personnes assistées sociales vivant seules.




Ce midi, le ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MESS) a publié des statistiques concernant l’abolition de l’allocation pour contraintes temporaires à l’emploi pour les personnes âgées de 55 à 57 ans et les couples avec un enfant de moins de cinq ans. Des statistiques navrantes qui confirment les prévisions les plus pessimistes.




À quelques jours de la Semaine de la solidarité (du 13 au 19 octobre), le Collectif pour un Québec sans pauvreté exhorte le gouvernement du Québec à investir autant d’énergie et de ressources pour éradiquer la pauvreté qu’il en a investi, lundi, dans sa nouvelle politique économique.




Madame la Première Ministre,

Il y a quelques semaines, vous affirmiez, à la sortie du caucus du Parti Québécois, que votre gouvernement miserait davantage sur l’identité, la prospérité et la solidarité, et ce, dès la rentrée parlementaire. Déjà, que vous décidiez de tabler sur la solidarité constitue une excellente nouvelle. Toutefois, selon le Collectif, ce qui compte, c’est évidemment la manière de le faire.




L’Institut national de santé publique du Québec a publié en 2013 un document qui fait état des stratégies et des indicateurs pour la surveillance des inégalités sociales de santé au Québec. Ce rapport « résulte d’un effort conjoint de professionnels régionaux et nationaux de la surveillance au Québec, issus de la Table de concertation nationale […]




Malgré tous les avis contraires maintes fois répétés, la ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Madame Agnès Maltais, a annoncé aujourd’hui qu’elle ira de l’avant avec les modifications réglementaires à l’aide sociale, lesquelles entreront en vigueur dès le 1er juillet. Le Collectif pour un Québec sans pauvreté juge que la ministre est dans les patates.




Contrairement à ce qui circule depuis hier, le Collectif pour un
Québec sans pauvreté ne demande pas la tête de la ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, madame Agnès Maltais. Cependant, il l’invite à arrêter de n’en faire qu’à sa tête et lui demande de retirer immédiatement son projet de modification du règlement d’aide sociale,
encore décrié de toutes parts.




Cette brochure aborde ce qu’est le revenu minimum garanti ainsi que les enjeux qu’il peut soulever : « [à] droite, on considère que cette formule permet de dégager l’État de sa responsabilité sociale face aux aléas de la vie. […] À gauche, c’est plutôt la dignité et le droit à un  » niveau de vie décent » qui […]




En conférence de presse ce matin, plusieurs organisations nationales
et syndicales membres du Collectif pour un Québec sans pauvreté ainsi que le Front commun des personnes assistées sociales du Québec (FCPASQ) ont exigé que la ministre Agnès Maltais abandonne une fois pour toutes son projet de modification au règlement d’aide sociale. Ses aménagements annoncés la veille n’ont pas atténué leur opposition, qui se fonde sur leur refus d’accepter l’appauvrissement certain que ce projet entraînera.